Les détricoteuses 91.2

C’est le mot "COCOTTE-MINUTE" que nous détricotons aujourd’hui !

Nous avons eu 2 mois pour créer des sujets sonores sur cette thématique avec toujours les mêmes règles :

Tout est permis : reportage, fiction, chroniques, création diverse et variée...Libre cours à notre imagination

Seule contrainte, ne pas dépasser 7 minutes !

"Je sais cuisiner" de Ronald
La femme est faite pour la vie de famille, pour le foyer domestique dont est l’âme et l’ornement [...] c’est la sa gloire et sa destinée" Ou comment les livres de cuisine et et d’éducation aux "arts ménagers" ont laissé leur trace dans les esprits.

"C’est toi la cocotte-minute" de Victoire
J’ai décidé de poser 3 questions à 4 camarades et amies : tu utilises toi une cocotte minute ? tu as l’impression d’être une cocotte minute parfois ? que t’inspire la définition technique du principe de la cocotte minute ? en me basant sur la définition de la marque commerciale, de la définition par analogie de la cocotte minute et de la définition plus technique. Je leur ai demandé de me donner la musique qui illustrerait le mieux nos échanges furtifs et voici un joyeux et personnel pot pourri qui gravite autour de ce mot. Ce que j’ai surtout saisi en faisant ce montage c’est qu’on peut vraiment discuter de tout avec ses amies.
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"Ébullition Dansante"** de Pascaline et Vanessa
Une étrange épidémie dansante... où la danse apparaît comme un exutoire libérateur d’un l’état de trop-plein. Une chronique scénarisée écrite à quatre mains durant laquelle nous nous questionnons sur comment notre corps peut devenir l’expression d’un trop-plein//d’un mal-être//d’une étrangeté dans un contexte social complexe et tourmenté.

C’est le mot "Racine" que nous détricotons aujourd’hui !

Nous avons eu 2 mois pour créer des sujets sonores sur cette thématique avec toujours les mêmes règles :

Tout est permis : reportage, fiction, chroniques, création diverse et variée...Libre cours à notre imagination

Seule contrainte, ne pas dépasser 7 minutes !

"Granmèrkal, femme oiseau" par Marjolaine
Rencontre avec Kala volatile, sorcière, femme-mystère associée au monde de la nuit, au monde de la peur.....qui hante les nuits des enfants réunionnais depuis des siècles.

"Classique tragédie" par Julie
Au lycée, je me suis construite, entre autres, autour de deux personnages tragiques antinomiques : Antigone et Cantat. Tandis que l’une défie l’ordre patriarcal, l’autre est coupable de féminicide... Sophisme cérébral !
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"Le féminisme détruit la société"** par Marianne
Fières, fortes et radicales. Elles le chantent à tue-tête et cassent le cliché de la douceur féminine. Ont-elles le choix ?

C’est le mot "fièvre" que nous détricotons en Direct avec Arthur Klara et Karina !

Ils/elles ont eu 2 mois pour créer des sujets sonores sur cette thématique avec toujours les mêmes règles :

Tout est permis : reportage, fiction, chroniques, création diverse et variée...Libre cours à notre imagination

Seule contrainte, ne pas dépasser 7 minutes !
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ENTRE HOMMES** par Arthur
Ou comment les récits hollywoodiens des années 80 et 90 ont construit la masculinité d’aujourd’hui.

FEVER par Klara
Everybody’s got the fever. That is somethin’ you all know. Fever isn’t such a new thing. Fever started long time ago.

MEDAHATES ou comment les femmes ont inventé le Raï par Karina
De culture bédouine, les Médahates, originaires de la région d’Oran sont en voie d’extinction. Et pourtant, elles s’emparent depuis les années 50 d’un rôle social, voire vital dans l’Ouest algérien : faire danser et entrer en transe des femmes aux itinéraires cabossés. Séparées, ou parfaites femmes d’intérieur mues en danseuse transe le temps d’une fête traditionnelle. Avec leurs ghbars, flûtes bédouines qui rappellent les sonorités arabo-andalouses, elles font danser les femmes parfois jusqu’à l’épuisement dans une catharsis libératrice. Et sans le savoir elles font naître sans le savoir ce qui allait bientôt devenir le raï au coeur de la décennie noire en Algérie... Voici le portrait d’une rare Médahate encore activité... Cheikha Rabiha

L’émission "Pipeau" c’est notre premier direct !

Nous avons eu 2 mois pour créer des sujets sonores sur cette thématique avec toujours les mêmes règles :

Tout est permis : reportage, fiction, chroniques, création diverse et variée...Libre cours à notre imagination

Seule contrainte, ne pas dépasser 7 minutes !

"Pipeautage" par Laure

Monsieur Macron votre intérêt pour l’égalité femme-homme n’est ce pas un peu du pipeautage ?

"Les bijoux oubliés de la Castafiore" par Marjolaine

À quel point les femmes sont t-elles invisibilisées dans les enseignements musicaux et les programmations ? Connaissons-nous de grandes compositrices ? Un sujet qui s’appuie sur les propos de Mélanie traversier qui a co-dirigé le travail collectif de recherche "La musique a t-elle un genre ?". Image : Jeanne Evrard, créatrice de l’orchestre féminin de paris.
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"Couple, mensonge et radio"** par Julie

Nous nous permettons d’interrompre votre programme habituel pour vous diffuser un procès inédit. Les inculpés sont accusés d’avoir fomenté et fait perdurer l’un des plus grands mensonges que l’humanité ait connu : Le couple.

Autour du mot "Correspondance" !

Pauline, Lucie et Claire ont eu 2 mois pour broder des sujets sonores sur cette thématique avec toujours les mêmes règles :

Tout est permis : reportage, fiction, chroniques, création diverse et variée...Libre cours à leur imagination

Seule contrainte, ne pas dépasser 7 minutes !

CHERE IJEAWELE - extraits d’un manifeste d’éducation féministe - par Pauline

Chimamanda Ngozi Adichie est une auteure nigériane . Porte-voix des questions de genre et de race, porte-parole de la scène littéraire africaine, elle a publié en 2017 "Chère Ijeawele". Sous forme d’une longue lettre adressée à une amie, elle y décline 15 principes d’éducation féministe. Découvertes et extraits.
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CAMINO** par Lucie

Une correspondance exotique et féminine qui raconte une amitié séparée par des kilomètres mais rapprochée par des pas. Le féminisme, ça use les souliers.
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CLAIRE MARCELLE PIERRETTE** par Claire

A bientôt 30 ans, je cherche les traces de mes grands-mères dans ma mémoire et dans celle du monde. A 30 ans dans les années 40, à quoi pouvaient-elles bien aspirer ?